PAROLES DE COEUR ET DE SAGESSE – 6 novembre 2018
La simplicité est le début de la vérité et de l’authenticité.
Extrait de L’héritier L’école de la vie – André Gilles Bock
La simplicité est le début de la vérité et de l’authenticité.
Extrait de L’héritier L’école de la vie – André Gilles Bock
· Moi, c’est ici maintenant que je la veux.
· Tu veux maintenant. Tu veux quoi au juste? Ton bonheur ou le sien? Réponds.
· Je l’ai dit tantôt, je veux qu’il y ait convergence des bonheurs.
· Alors, ton amour pour elle devra grandir et devenir suffisamment fort pour qu’elle aille vers ta lumière et ainsi possiblement guérir.
Extrait de L’héritier L’école de la vie – André Gilles Bock
· C’est clair, il faut que je trouve le moyen de faire en sorte que nos choix s’harmonisent plutôt qu’ils ne se détruisent.
· C’est beaucoup plus complexe que tu le crois; il y a une foule d’éléments dont il faut tenir compte.
· Tu m’as dit que les enfants avaient une force inestimable et une foi inébranlable en leur père. Moi, je pars avec cela.
· C’est beau sauf qu’il y a des lignes directrices, je dirais, qui se doivent d’être respectées pour ne pas tomber dans l’illusion dont entre autres: la liberté de l’autre, l’état de son corps, de sa chair, sa volonté de vivre, les remèdes et leurs effets pervers, sa réaction à ceux-ci, sa mission sur Terre, sa destinée dans ce monde et les autres.
Extrait de L’héritier L’école de la vie – André Gilles Bock
· Elle a le choix; c’est sa liberté contre la tienne, son choix contre le tien.
· Pourquoi il faut que ça s’oppose ? Ça ne peut pas être convergent, aller dans le même sens? Je commence à aimer cet enfant plus que moi-même, je ne veux pas qu’on me la retire.
· Je n’ai rien à voir avec le retrait ou pas des êtres chers, les cycles de la vie sont ainsi faits pour que les choses s’équilibrent.
Extrait de L’héritier L’école de la vie – André Gilles Bock
· Tu crois-tu que le gros arbre là-bas picote?
· Il est très beau, on y va?
· Oui. Il picote, il est très fort et en santé! Tu vois-tu sa belle chevelure?
· Oui, mais moi, c’est la racine qui m’intéresse, c’est par là que le bel arbre se nourrit.
· Tu as raison, respirons pour prendre contact avec les racines de ce bel arbre. Appuie-toi bien dessus; peut-être qu’il aime les enfants et qu’il sait les guérir?
· Oui peut-être.
· Moi je vais essayer de contacter la Terre qui nourrit l’arbre et ses racines. On m’a déjà dit que c’était aussi notre Mère. Peut-être que si l’arbre ne sait pas ou ne peut pas te guérir, peut-être la Mère Terre le pourra. Tu sais, les pouvoirs d’une mère c’est grand.
· Ah oui, c’est très grand, mais ceux d’une mère avec un père ça l’est encore plus.
Extrait de L’héritier L’école de la vie – André Gilles Bock