CHRONIQUE POUR TDI – CONNAÎTRE L’AMOUR

Décembre avec le joyeux temps des Fêtes me semble parfait pour parler d’Amour. Dans cette chronique pour TDI, il m’est venu le goût d’offrir ces mots de Paul l’Apôtre qui nous raconte l’Amour.

J’aurais beau parler toutes les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour, je ne suis qu’un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante.

 J’aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu, j’aurais beau avoir toute la foi jusqu’à transporter les montagnes, s’il me manque l’amour, je ne suis rien.

J’aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés, j’aurais beau me faire brûler vif, s’il me manque l’amour, cela ne me sert à rien.

L’amour prend patience ; l’amour rend service ; l’amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil ;

il ne fait rien d’inconvenant ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s’emporte pas ; il n’entretient pas de rancune ;

il ne se réjouit pas de ce qui est injuste, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ;

il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout.

L’amour ne passera jamais. Les prophéties seront dépassées, le don des langues cessera, la connaissance actuelle sera dépassée.

En effet, notre connaissance est partielle, nos prophéties sont partielles.

Quand viendra l’achèvement, ce qui est partiel sera dépassé.

Quand j’étais petit enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Maintenant que je suis un homme, j’ai dépassé ce qui était propre à l’enfant.

Nous voyons actuellement de manière confuse, comme dans un miroir ; ce jour-là, nous verrons face à face. Actuellement, ma connaissance est partielle ; ce jour-là, je connaîtrai parfaitement, comme j’ai été connu.

Ce qui demeure aujourd’hui, c’est la foi, l’espérance et la charité ; mais la plus grande des trois, c’est la charité.

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Bien sûr, certains de ces énoncés semblent dépassés aux hommes et femmes modernes que nous sommes, mais prenez le temps de méditer chacune de ces phrases. Vous y apprendrez peut-être l’amour, vous comprendrez un peu mieux le concept d’évolution et surtout si vous le voulez bien, vous accepterez de développer patience et tolérance pour vous et les autre

PAROLES DE COEUR ET DE SAGESSE – 7 décembre 2018

Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre ?

Que serais-je sans toi qu’un cœur au bois dormant ?

Que cette heure arrêtée au cadran de la montre ?

Que serais-je sans toi que ce balbutiement ?

 

Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes

N’est-ce pas un sanglot de la déconvenue

Une corde brisée aux doigts du guitariste

Et pourtant je vous dis que le bonheur existe

Ailleurs que dans le rêve ailleurs que dans les nues

Terre, terre, voici ses rades inconnues

 

Que serais-je sans toi – Jean Ferrat

 

PAROLES DE COEUR ET DE SAGESSE – 6 décembre 2018

Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre ?

Que serais-je sans toi qu’un cœur au bois dormant ?

Que cette heure arrêtée au cadran de la montre ?

Que serais-je sans toi que ce balbutiement ?

 

J’ai tout appris de toi pour ce qui me concerne

Qu’il fait jour à midi qu’un ciel peut être bleu

Que le bonheur n’est pas un quinquet de taverne

Tu m’as pris par la main dans cet enfer moderne

Où l’homme ne sait plus ce que c’est qu’être deux

Tu m’as pris par la main comme un amant heureux

 

Que serais-je sans toi – Jean Ferrat

PAROLES DE COEUR ET DE SAGESSE – 5 décembre 2018

Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre ?

Que serais-je sans toi qu’un cœur au bois dormant ?

Que cette heure arrêtée au cadran de la montre ?

Que serais-je sans toi que ce balbutiement ?

 

J’ai tout appris de toi sur les choses humaines

Et j’ai vu désormais le monde à ta façon

J’ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines

Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines

Comme au passant qui chante on reprend sa chanson

J’ai tout appris de toi jusqu’au sens du frisson 

 

Que serais-je sans toi – Jean Ferrat