CHRONIQUE POUR TDI – LE MÉTIER DE RESTAURATEUR

Eh bien, aujourd’hui nous allons poursuivre les différents apprentissages du Chevalier, le serviteur du royaume.

Dernièrement, nous avons bâti sur le chemin menant à la Lumière, un lieu pour que celui qui cherche, celui qui marche puissent se reposer. Nous allons retourner à cette auberge pour développer de nouveaux aspects du travail du Chevalier.

On prend le temps de s’installer confortablement. Comme toujours, le souffle va favoriser un regard intérieur accompagné d’une détente corporelle tout comme celle de la pensée. L’utilisation des couleurs et des chakras sont de mises pour une meilleure conscience corporelle et de son senti.

Lorsque l’on sent un calme nous envahir, on débute la visualisation créatrice et on va à Camelot pour reprendre le chemin qui a été construit. On se donne rendez-vous à l’auberge.

Chacun sait que ceux et celles qui avancent sur cette route ont faim et soif, alors pour répondre à ce besoin, il va falloir faire de nouveaux apprentissages. Il va être nécessaire d’apprendre à faire le pain et servir le vin.

On commence par se rendre à la cuisine où un boulanger céleste va vous montrer à préparer la pâte et à obtenir une cuisson parfaite.

Il faut en premier lieu bien choisir les ingrédients. Au-delà de la farine, de l’eau et du sel, il faudra y incorporer de la détermination et de la vaillance afin de faciliter la suite du parcours. Pour pouvoir transmettre ces valeurs, le boulanger céleste va déposer dans vos mains les éléments nécessaires pour l’éclosion de ces dernières.

Marche à suivre pour une fournée :

      • Allumez le feu de votre cœur pour la fournée;
      • Placez-y votre pâte;
      • Surveillez la parfaite cuisson;
      • Constatez le fruit de votre travail;
      • Appréciez le travail d’équipe (le divin et toi);
      • Partagez le fruit de vos efforts.

 

Une fois, cette fournée terminée, partagez vos pains. Offrez-en au boulanger céleste et laissez une part à la porte de l’auberge pour les passants et surtout n’oubliez pas de vous en garder une part afin de combler votre faim.

On revient doucement. Sentez-vous la plénitude de cette nourriture?

Oui-non.

Vous êtes le pain, le sel de la terre, le levain dans la pâte.

Le mois prochain, nous irons apprendre le métier du vigneron.

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