Ces dernières années, la méditation est devenue en vogue. Nous sommes loin de la méditation transcendantale et des yogis de l’Inde. Dernièrement, la science et la médecine s’en sont emparées pour en déduire des impacts positifs et féconds. La liste est plutôt intéressante :
· Augmentation de la concentration et de l’attention,
· Transformation de certains comportements comme l’augmentation de la patience, du calme et de l’accueil de l’autre,
· Diminution du stress, de la dépression et de la colère,
· Au niveau physique, il a été prouvé qu’il y a un renforcement du système immunitaire, une réduction de la pression artérielle, etc.
Outre ces impacts, la méditation est une approche qui permet la gestion des pensées ainsi que l’observation de leurs impacts dans notre quotidien et pour d’autres, elle est aussi une pratique spirituelle permettant la rencontre du corps et de l’esprit. Plusieurs types de méditation existent et elles répondent aux différents besoins des personnes.
L’objectif de cette chronique ne sera pas de vous informer sur chacun des techniques de méditation, mais plutôt de vous accompagner dans votre apprentissage.
La durée de la méditation n’a pas de véritables importances, mais la régularité de la pratique donne des fruits intéressants.
Pour débuter, nous allons utiliser ce principe de base : se concentrer sur un sujet précis comme la respiration ou le senti corporel.
1. Avec la respiration : se concentrer sur l’air qui entre et qui sort de notre nez. Essayez de le faire sans que vos pensées ne s’égarent (1 minute, 2 minutes, etc.).
2. Avec le balayage corporel : en respirant doucement, faites un balayage mental de votre corps. Soyez à l’écoute de votre senti corporel.
Faites ses exercices quotidiennement et prenez note des effets sur votre pensée, votre corps, vos attitudes et vos comportements.