CHRONIQUE POUR TDI – L’AIR

Toujours au niveau des chroniques pour TDI ou Trouble de déficit d’incarnation, nous allons poursuivre l’exploration de l’élément Air. La rencontre qui suit va offrir un regard plus ouvert sur cet élément invisible, mais si présent.

Comme toujours, on débute par un temps d’arrêt pour mieux entrer en contact avec soi-même. On respire doucement et puis on laisse le mouvement respiratoire s’amplifier de plus en plus en profondeur. En écoutant bien, on s’aperçoit qu’une partie du mental s’est tue. Les rythmes du corps et de la pensée sont au ralenti et vont vers l’harmonie. On est enfin prêt à commencer la visualisation.

On ferme les yeux tout en ouvrant ses perceptions et son cœur. En observant le souffle de manière élargie, on s’aperçoit qu’il peut revêtir le vêtement du vent et ce vent peut réaliser plusieurs actions comme l’élévation si on pense aux montgolfières, aux oiseaux qui se laissent planer. Il peut aussi tout à l’autre bout de son spectre créer des destructions, des tempêtes, influencer l’impact des autres éléments par exemple avec les océans, le sable du Sahara ou la poudrerie ou encore les feux de forêt, etc.

L’air comme tous les autres éléments va répondre à nos demandes si on accepte de vivre l’autorité et surtout d’assumer les conséquences de cette autorité. Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’apprentissage de l’usage des éléments est un outil important dans le développement du Chevalier, comme l’air qui facilite l’intuition et la perception des messages. On perçoit bien le lien avec la Nature et l’expression de l’esprit dans la matière qui est la base de la puissance du Chevalier.

Un exemple de l’utilisation de l’air en tant qu’outil, on prend contact avec l’air qui nous entoure et aussi qui nous pénètre. On suit cet élément à l’aide de notre souffle pour percevoir son impact en nous : détente musculaire, relâchement de tension, perception de blocage ou encore serrement. Ainsi l’air est un outil important pour la conscience corporelle et spirituelle, car utilisé consciemment, cet élément peut mener à l’élévation ou à un mal-être, selon l’usage et/ou la pureté de nos intentions.

On prend doucement notre souffle pour faire voyager l’air en nous et nous apporter un bien-être. On la dirige vers nos raideurs, nos tensions, nos malaises. On écoute ou on sent son action. Agréable, bon…

On revient doucement.

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