CHRONIQUE POUR TDI – UN MOMENT AVEC LA MÈRE

Les méditations sont des outils qui favorisent le ressourcement et développent des habiletés pour la réflexion.

Dans cet ordre d’idée, je veux vous partager une courte méditation issue d’un temps de repos au bord de la mer.

En premier lieu, installez-vous confortablement et fermez les yeux. Ralentissez votre respiration. Imaginez-vous au bord de la mer. Écoutez le battement régulier créé par le va-et-vient des vagues. Prenez-en le rythme.

Maintenant, formez une bulle qui flotte sur les eaux de la mer et installez-vous en elle. Prenez contact avec le bercement qui vient du mouvement des vagues et faites le rapprochement avec une autre mer (mère), la Grande Mère spirituelle. Acceptez de vous faire bercer par elle.

Redevenez l’enfant. Goûtez aux sentiments que fait vivre la présence de la Mère. Contactez l’amour, la tendresse, la sécurité qui vous entourent auprès d’elle. Conscientisez ce que ces sentiments permettent de dévoiler en vous. C’est bon. Oui-Non.

Si oui et que vous voulez partager ces sentiments et ce bien-être, peut-être pourriez-vous demander à la Mère de vous enseigner les qualités et les valeurs importantes qui favorisent l’établissement d’une base solide à l’épanouissement de tout être.

Prenez le temps de méditer et de nommer ce qui vous est nécessaire pour poursuivre l’œuvre de la Mère. Apprenez à vibrer au son des battements du cœur maternel.

Maintenant, reprenez doucement une respiration normale tout en enregistrant ce moment et ses sensations.

PAROLES DE CŒUR ET DE SAGESSE – 24 juillet 2019

  • Tu sais ce que c’est de la compassion ?
  • Oui très bien. C’est quand on prend le temps d’écouter et de parler à quelqu’un, c’est quand on l’aide, c’est quand on ouvre la porte de son cœur pour lui donner une partie du sien ou lui donner de l’eau qui en coule. Il y a des gens qui prennent cela pour de la pitié ; ce n’est pas ça. Il y a plus de respect pour autrui dans la compassion que dans la pitié, surtout plus de dignité.

Extrait de L’héritier L’école de la vie – André Gilles Bock

CONTE ET RÉFLEXION

Lors d’un déjeuner philosophique, les contes étaient à l’honneur et certaines personnes nous ont livré leur propre création.

Nous vous en présentons un. Prenez un temps de réflexion pour en retirer une certaine sagesse et faire des liens avec votre vécu. Si vous le voulez, vous pourrez nous laisser vos commentaires.

LA PETITE ÉTOILE QUI VOULAIT VOYAGER.

Un jour naquit une toute petite étoile, c’était par un soir gris sans beaucoup d’éclat.  Il y avait tout près d’elle une belle grande étoile qui était là depuis très longtemps.

Cette petite étoile voulait voyager, elle avait entendu parler de l’Univers et de sa beauté et se réjouissait d’avance de tout ce qu’elle pourrait découvrir…

La grande étoile eut vent de son plan et comprit qu’il fallait faire quelque chose… Elle demanda secrètement au Soleil et à la Lune de sortir leurs plus beaux atours pour les prochaines journée et nuit qui viendraient. Puis, elle alla voir la petite étoile et lui dit : Ne pars pas maintenant, promets-moi de rester une nuit de plus. Et comme la petite étoile l’aimait bien, ce fut marché conclu!

Le lendemain, il y eut sur Terre une journée extraordinaire de soleil et de beauté. La nuit venue, la Lune se mit à briller de toute sa pureté et le ciel se para de milliers d’étoiles, même la Voie lactée s’était mise de la partie… C’était tellement magnifique que la petite étoile en eut le souffle coupé.

Mais c’est quoi tout cela? demanda-t-elle à la grande étoile.

Eh bien, c’est une partie de l’univers, celui que nous habitons… 

On dit que depuis ce jour, la petite étoile s’est mise doucement à grandir et à briller plus fort, car elle savait maintenant qu’elle faisait partie de cet Univers grandiose et que par sa brillance, elle avait la possibilité de l’embellir.

Marie Danielle Veilleux

PAROLES DE CŒUR ET DE SAGESSE – 18 juillet 2019

Je sens que chaque être humain, s’il veut s’épanouir et se libérer de ses angoisses et de ses peurs, devra plonger en lui et faire son travail et ça, ça vaut pour mes enfants, ma mère, mon père et tous les autres. Ce n’est qu’une fois que l’on fait ce travail que l’on peut voir où on doit aller et ce que l’on doit entreprendre. Tout le reste, tout ce qui était avant, n’était que le prélude à une vie heureuse.

Extrait de L’héritier L’école de la vie – André Gilles Bock